On a du mal à voir où le film part, et on a tendance à le trouver parfois pédant (notamment la première scène). Tout ceci étant contrebalancé par des qualités certaines ; les acteurs tout d'abord, excellents. Les dialogues, bien ficelés. Et certaines scènes, complètement magiques : celle où Roman Duris écoute "Cambodia" de Kim Wilde, celle où il chante au téléphone, celle où il lit une histoire à son frère. L'émotion est présente, et c'est ça qui compte. Comme dirait Florent, l'important c'est d'aimer. |