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Film | affiche | Commentaire |
Django Unchained | Je ne pouvais pas passer par Hollywood sans voir un film sur Sunset Boulevard, et quel meilleur film que le dernier Tarantino, toujours pas sorti en France et déjà sur les écrans depuis Noël aux US. ET je dois dire qu’après quelques déceptions (le Boulevard de la Mort est quand même un peu bouesque, et j’ai détesté Inglourious Basterds), on retrouve enfin un Tarantino au sommet de sa forme. La première partie est sublime ; melting pot inspiré des westerns italiens avec du grotesque, de la violence, et du sublimé. Le couple Jamie Fox - Christopher Waltz fonctionne à merveille. C’est drôle et violent, c’est original, et le fond sur l’esclavage n’alourdit pas le sujet et est traité avec intelligence. Bref ; c’est un des meilleurs westerns de ces dernières années. Christopher Waltz crève littéralement l’écran, et Jamie Fox prend un plaisir évident à jouer les badass. Côté bad guys, le film est aussi assez bien fourni avec un Don Johnson d’un charisme incroyable, un Samuel L. Jackson méconnaissable et inquiétant, et surtout un DiCaprio absolument énorme. C’est bien simple il arrive à complètement occulter Christopher Waltz dès qu’il apparait, et ce n’est pas peu dire. Le film subit un virage lors d’une scène de boucherie gore et ultra violente, qui le fait inexorablement basculer dans le film de genre. Est-ce une bonne chose ou une mauvaise chose, je ne sais dire. D’un côté, c’est dommage de ne pas avoir un western entier et cohérent, et d’un autre côté j’adore les films de genre, et les scènes de combat ont un côté relativement jouissif. Il faut juste pas amener ses enfants, c’est tout. Le film marque ensuite une petite pause, et on se demande ce qu’il va se passer ( principalement faute de combattant – pardon, de personnage encore vivant ). On commence à avoir la désagréable impression que Tarantino part dans des délires métaphysiques quand il tient son acteur en laisse ou quand il se fait exploser par son acteur . Mais finalement, tout revient dans l’ordre et on a droit à un final grandiose dans lequel Tarantino n’hésite d’ailleurs pas à rendre hommage à un de ses propres films (Kill Bill). Bref ; le film est un énorme panard. Courrez le voir. Quand il sortira. | |
Star Trek Into Darkness |
Après avoir ressuscité la série en la mettant au goût du jour en 2009, avec un premier opus très réussi, J.J. Abrams remet le couvert avec cette suite qui capitalise un maximum sur le premier film. Et si on arrive à lire le cahier des charges, on ne peut que constater l’incroyable succès du film qui satellise le premier opus dans effort aucun (meilleure histoire, personnages plus creusés, effets spéciaux plus spectaculaires, plus d’action, plus de violence, arf). Ça augure plutôt pas mal pour les prochains Star Wars. On peut découper le film en trois parties, correspondant grosso-merdo aux trois lieux du film. Ça commence par une mission de routine de l’USS Enterprise. On est typiquement dans un épisode de la série, avec pas mal d’humour, de l’action, et des effets spéciaux. On enchaine ensuite sur le ‘vrai’ film, avec une trame très bien foutu (enfin un scénario qui tient la route, ça fait plaisir), et des personnages toujours plus réussis. Le ‘méchant’, notamment, est absolument énorme. De l’action, des effets spéciaux qui déchirent, une scène voulu émouvante (et marche, p*tain, j’en ai presque chialé ). Les personnages évoluent tout en restant cohérents et sympathiques : Jim Kirk est le héros américain par excellence, beau gosse, tête brulée, charmeur, et … con. On l’aime quoi, même s’il va évoluer et devenir responsable. Spock est … exactement ce que l’on attend de lui. Coup de chapeau à Zachary Quinto qui arrive à rendre le personnage attachant – pas évident puisqu’il doit montrer assez peu d’émotions. Bref ; un film d’action-SF qui claque bien. Juste lorsque l’on pense que c’est fini, le film monte en puissance avec des effets encore plus spectaculaires. Certes, c’est parfois un peu attendu, certes, les personnages sont un peu grossiers, mais ils sont sympathiques, l’histoire est là, ça reste fidèle au matériel d’origine (pour ce que je peux en juger, je n’ai pas vraiment vu la série ou les films précédents), et ça reste un sacré bon film qui scotche au siège pendant 2 heures. Vivement la suite. |
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Kick-Ass 2 | Ça fait plaisir de retrouver le même casting (sauf le réalisateur, qui passe la main) pour cette suite pleine de fraîcheur et de scènes d’actions ultra-violentes. On retrouve le charme du premier opus, cette suite étant du même niveau voir parfois supérieure. Ça commence d’ailleurs exactement par la même scène, sauf que Hit Girl prend la place de Big Daddy et Kick-Ass celle de Hit Girl. Il s’agit là de la parfaite introduction pour le film. Ça fait quand même sacrément plaisir de voir un film de super-héros intelligent ; ça faisait longtemps. Certes, on prend son pied devant un Avengers décérébré, mais rien ne vaut une histoire qui tient la route et des personnages qui sont au service de cette histoire. Le film ressemble pas mal aux Spiderman de Raimi, car il parle avant tout de l’adolescence, et du rapport à l’héroïsme (ou plutôt, au super-héroïsme ). Les quelques scène avec Hit Girl (devant un clip de R’n’B, et en cours de danse) sont d’ailleurs absolument truculentes. Après, le charme du duo Aaron Taylor-Johnson - Chloë Grace Moretz continue d’opérer ; c’est un plaisir de voir cet ado mignon et gentil aux côtés de cette gamine vulgaire et violente. Les scènes d’actions sont à la hauteur du premier opus ; orchestrées au millimètre, réalistes, ultra-violentes, originales (on a pas mal vu de combat sur un capot de voiture, mais jamais un comme celui-là ), et ponctué par les punchlines de Hit Girl. La réalisation est plutôt sympa, avec un parti-pris résolument BD sur certains passages (les sous-titres, et la présentation des super vilains). Bref, j’ai beaucoup aimé ; si vous avez vu et apprécié le premier, foncez. | |
Gatsby le Magnifique |
New-York, 1922. Un homme vient profiter de l’essor de la bourse pour son premier job. Il a pour voisin un mystérieux Gatsby … Je trouve le film très bien monté. On découvre l’histoire à travers le regard de Tobey Maguire, choix de casting plutôt improbable je trouve mais qui fonctionne quand même. S’il n’a pas la tête de l’emploi, l’acteur joue tout en retenu - parfois un peu trop. On a un peu l’impression que c’est l’optique du film : la reconstitution est réaliste et moderne (au contraire de Moulin rouge où elle était plutôt surréaliste et moderne), tout est montré de façon plutôt sobre. Même le personnage de Gatsby, que l’on attendrait fantasque et grandiloquent, reste somme toute un humain parfaitement normal. Il n’apparait d’ailleurs qu’à un bon quart d’heure de film. Le fait que l’histoire soit un énorme flashback contenant lui-même des flashbacks passe très bien. La sobriété générale du jeu fait que DiCaprio et Maguire s’intègrent très bien au reste du casting - DiCaprio n’écrase pas le reste de la distribution comme sur Django Unchained, et d’ailleurs c’est un peu dommage. L’histoire est plutôt sympa. Les décors et effets spéciaux sont super. Il n’y a pas particulièrement de longueurs. Les seuls choses que j’aurais aimé changer sont la façon sobre dont Gatsby est traité (oui oui, on va finir par le savoir ), et le personnage de Maguire - j’aurais que son dégout soit mieux retranscrit, voir que la relation avec Gatsby soit aussi plus montrée / expliquée. M’enfin, ça ne gâche pas le plaisir, et c’est un film que je conseil à tout un chacun. |
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Elysium | Il n’y a que dans les films de Neill Blomkamp que l’on voit régulièrement des mecs littéralement exploser à l’écran, et je pense que ce fait justifie à lui seul le visionnage de sa filmographie. Difficile de faire un nouveau film après l’énormissime District 9 sans décevoir le publique, même si Blomkamp essaie de façon assez convaincante. On retrouve la même ambiance, le mélange technologie / biologie, l’armement toujours très bien pensé et assez chouette, l’anti-héro, et la trame est similaire. En place et lieu de l’Apartheid, on a la séparation Nord-Sud avec les mexicains qui vivent dans des bidonvilles et qui veulent émigrer sur la station des pays Européens. Le film est globalement très sympathique, mais souffre d’une mise en scène moins innovante / originale que District 9, ce qui met en avant les défauts du film. Encore une fois, le fait de montrer la séparation Nord-Sud ne sert que de lieu à l’action et n’est jamais exploité. Ce n’est pas gênant dans District 9, et c’est bien plus visible dans Elysium – d’autant que Blomkamp se concentre sur un seul sujet, l’accès à la médecine. Le montage est aussi assez haché – surtout dans la première partie du film, dans laquelle Blomkamp doit gérer plusieurs personnages / lieux. Après, les effets spéciaux sont magnifiques, on voit que le budget est au rendez-vous. Les personnages sont assez bien grimmés. On retrouve tout un arsenal fort sympathique : divers gros guns, exo-squelette, mines volantes – pour faire exploser des mecs, etc., et les scènes d’actions sont au niveau de ce que l’on pouvait attendre. L’histoire est correcte. La fin est attendue mais efficace – à part la toute fin qui est un peu moisie. C’est un foutu bon film d’Action / Science-Fiction – pas du niveau de son frère ainé, mais tout à fait regardable par tous (ou presque ). J’ai parlé des mecs qui explosent ? | |
Snowpiercer | Libre adaptation de la bédé française ‘Le Transperceneige’ par Bong Joon Ho (le papa de ‘Memory of murder’, ‘The Host’ et ‘Mother’), Snowpiercer est un film de science-fiction un peu déroutant. On a l’impression que Bong Joon Ho n’a pas vraiment su s’approprier l’univers de la bédé, très 80’ et tragico-comique. Ça se ressent à l’image, notamment au début où l’on passe trois plombes à nous expliquer les enjeux du film là où quelques minutes auraient suffi. Du coup, le film démarre un peu sur un faux rythme qui laisse penser qu’il y a des longueurs. Après, le film peut se reposer sur un casting 5 étoiles et Bong Joon Ho est loin d’être un manchot, ce qui donne quelques scènes très réussies et un film qui se laisse regarder avec beaucoup de plaisir. Je pense notamment à la scène d’affrontement à la hache (qui n’est pas sans rappeler la scène mythique de ‘Old Boy’, clin d’œil à son compatriote Park Chan-wook ?). S’en suit d’ailleurs un des rares moments tragicomiques parfaitement réussi. Après cela, le film part sur un rythme de croisière assez intéressant – avec un simple break vers la fin, pour donner un peu de profondeur aux personnages avant la conclusion. Niveau casting, Chris Evans est carrément correct – son personnage n’est malheureusement pas très fouillé (comme dans la bédé en fait), sauf sur la toute fin. Jamie Bell livre une performance plutôt chouette. J’aurais aimé une fin différente – mais bon, encore une fois, c’est finalement assez proche de la bédé qui a une fin tout aussi absurde. C’est bien fichu, il y a des bons perso, et on passe un bon moment de cinéma, alors moi je dis foncez. | |
Oblivion | Le film précédent du réalisateur, ‘Tron l’héritage’, n’était pas mauvais intrinsèquement. Visuellement, il était à couper le souffle. Mais bon, l’histoire était vraiment en carton. Là, on retrouve cette beauté visuelle : l’image est lissée, et on est englouti dans ces paysages post-apocalyptiques incroyables que nous promettait la bande annonce (d’ailleurs, petit aparté : ne pas la regarder si possible, elle contient des scènes de la milieu-fin du film). Cette fois-ci, l’histoire est au rendez-vous, puisque le scénario SF proposé est plutôt pas mal et réserve quelques surprises intéressantes. Hum … j’entends d’ici le ‘mais’. Mais. Mais ça ne fonctionne pas complètement. La faute à une réalisation trop aseptisée, et aussi à un manque de souffle narratif. Kosinski n’est pas un conteur, et montrer l’histoire avec des belles images ne suffit pas à capter le spectateur. Il aurait sans doute fallu y insuffler un peu de réflexion, pourquoi pas sur la différence homme-machine, puisque le sujet s’y prête parfaitement ? Aussi, les sentiments ne sont jamais montrés à l’écran, et c’est dommage car le film est centré sur l’histoire d’amour. A ce compte-là, Olga Kurylenko est vraiment nulle (pas très aidée il est vrai par son rôle un peu potiche). Tom Cruise est aussi décevant ; autant il est à l’aise dans l’action et l’auto-questionnement, autant il l’est moins quand il s’agit de montrer les sentiments de son personnage. Andrea Riseborough est la vraie bonne surprise du film. Aussi, je n’ai pas du tout aimé la façon dont sont traités les aliens – mais bon, ça reste acceptable. Au final, on a un film de SF magnifique, on ne voit pas passer les 2h, mais on est loin du chef d’œuvre inoubliable. La prochaine fois peut être ? | |
World War Z | Je n’avais pas de grosse attente sur cette production, et je ne connais pas le bouquin, mais bon, je suis quand même allé voir le film – la faute sans doute à mon amour immodéré des films de zombis. Je m’attendais quand même vaguement à un blockbuster lisse, propre sur lui et un peu emmerdifiant. J’avais tort ; le film m’a pris aux tripes et ne m’a pas lâché jusqu’à la fin. Les zombis arrivent assez vite, et amènent une pression et une violence à laquelle il est difficile de résister. J’ai aussi bien aimé le personnage principal – pas un super tueur, pas un patriote, mais un ‘simple’ enquêteur de l’ONU habitué à survivre dans les zones de conflits. Brad Pitt offre une prestation assez intéressante, toute en sensibilité. Les effets spéciaux sont à couper le souffle, et les scènes d’attaques de zombi sont vraiment impressionnantes. A côté de cela, on a parfois des scènes carrément illisibles avec la caméra qui bouge et une succession d’images immangeables ; dommage. La toute fin du film – après l’anti-climax, la pub Pepsi, et la scène cool – est carrément à chier et met la lumière sur la vacuité du film. C’est un simple survival, qui ne montre rien, pas même les valeurs nécessaires à la survie. Je peux aussi comprendre que les gens qui ne rentrent pas dans le film trouvent certains passages ridicules, vu que les précautions prises par les personnages peuvent sembler risibles si on n’a pas peur des zombis. D’ailleurs, eux-mêmes peuvent paraitres ridicules sur le même postulat. Mais bon, ça n’a pas été le cas pour moi, et ça n’a pas gâché le plaisir que j’ai pris à voir le film. | |
Hansel & Gretel: Witch Hunters |
There’s a troll ? Trolls are extra. Quelque peu échaudés par leur mésaventure avec une sorcière qui habitait dans une maison en sucre durant leur enfance, Hansel et Gretel décident de s’habiller en cuir, porter des gros guns, jouer aux badass et buter de la sorcière contre espèce sonnante et trébuchante. Force est de constater que le film rempli son cahier des charges, et délivre exactement ce que promettent l’affiche et le pitch : du cuir, de l’action, et des monstres. Le divertissement est au rendez-vous, même si le film ne peut pas vraiment prétendre à la palme d’or. Il lui manque ce petit je-ne-sais-quoi qui fait que parfois, un film de genre bien réalisé est un véritable chef d’œuvre. Manque de personnalité sans doute. On peut aussi regretter que l’aspect psychologique soit complètement mis de côté – il était sans doute possible de coller des trucs sympa sans pour autant casser le rythme du film. Je n’ai pas été plus convaincu que cela par la performance de Gemma Arterton en Gretel. Elle est censée porter le duo à bout de bras, et elle n’y arrive jamais. Elle est carrément fadasse. Jeremy Renner prend du plaisir à jouer un abruti qui fonce dans tout ce qui bouge, et parvient à y ajouter suffisamment de sensibilité pour rendre le personnage intéressant. Pas grand-chose à dire sur le reste du casting, à part qu’il était sans doute possible de montrer Famke Janssen un peu moins grimée. Les costumes et décors sont assez sympa – on reste dans le visuel allemand du 16ème siècle, avec quelques libertés assez fun (cuir et gros guns). Le partit pris sur les sorcières est plutôt pas mal (elles sont difformes et bestiales). Les armes ne sont pas aussi bien que ce qu’on aurait pu penser au vu de l’affiche et de la bande annonce, mais ça reste très correct. L’histoire a le mérite d’exister. Les dialogues valent ce qu’ils valent ; il y a 2-3 punchlines qui tuent, ç’eu été sympa d’en avoir un peu plus. Les effets spéciaux sont assez chouettes – voir vraiment géniaux dans les génériques de début et de fin – ce qui fait un peu dire qu’ils ont un peu foutu l’argent par les fenêtres, mais bon. La grosse force du film, c’est la 3D qui est vraiment cool dans le film, et le rythme avec de l’action qui ne s’arrête presque jamais. Bref ; contrat rempli, c’est un divertissement très acceptable. |
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Gravity |
J’ai été à la fois agréablement surpris et déçu. Agréablement surpris, parceque c’est mieux que ce à quoi je m’attendais. Il n’y a pas beaucoup de temps mort, et on n’a pas vraiment le temps de s’emmerder. Et surtout, c’est vraiment chouette : l’image est sublime. Déçu, parceque ce n’est pas la claque visuelle que tout le monde m’a décrit. Oui, on n’a encore jamais vu ça au cinéma. Oui, c’est chouette, impressionnant, toussa. Oui, la 3D est vraiment bien – mieux que sur Avatar. Mais on est encore loin des possibilités du truc – ce n’est pas la pub Haribo pendant 1h30. Au final, on a un bon survival dans l’espace, avec certes des problèmes de rythme, mais relativement efficace – Cuaron arrive à nous faire ressentir la peur et le stress de son héroïne. L’histoire qui se dessine entre les scènes d’action est emmerdifiante – ok, ça parle du deuil, on le saura, Bullock nous parle de sa fille à chaque réplique. Heureusement qu’il n’y en a pas beaucoup. Et heureusement qu’il y a Georges Clooney La musique est aussi un gros moins : trop présente, trop forte, et surtout pas très digeste. Cuaron aurait probablement dû aller jusqu’au bout du concept et faire un film sans son. Côté réalisme, Il y a 2-3 trucs un peu zarb’ (genre j’arrive à survivre pendant 10 minutes sans oxygène), mais globalement ça se tient plutôt bien. Bref, on passe un bon moment, mais si je suis séduit par la nouveauté et la beauté des images, ça me laissera pas un souvenir impérissable. |
Sur les forum allociné, un classement a été donné par les internautes (classement réalisé a partir 2005 par McKerr et Willnot94) ; le classement est voté sur le film de l'année et sur le film du mois.
FILMS du mois :
Janvier
1 Django Unchained
2 Le Monde De Charlie
2 Lincoln
vote de Manu : Django Unchained
Février
1 Flight
2 Gangster Squad
3 Wadjda
vote de Manu : Happiness Therapy
Mars
1 Cloud Atlas
2 Spring Breakers
3 The Place Beyond The Pines
vote de Manu : Hansel & Gretel: Witch Hunters
Avril
1 L’Ecume Des Jours
2 Iron Man 3
2 Effets Secondaires
vote de Manu : Oblivion
Mai
1 Mud – Sur Les Rives Du Mississippi
2 Trance
2 Le Passé
vote de Manu : Gatsby le Magnifique
Juin
1 Man Of Steel
2 L'Inconnu Du Lac
3 Before Midnight
vote de Manu : Star Trek Into Darkness
Juillet
1 Frances Ha
2 World War Z
2 Pacific Rim
vote de Manu : World War Z
Août
1 Kick-Ass 2
2 Lone Ranger : Naissance D’Un Héros
vote de Manu : Kick-Ass 2
Septembre
1 Rush
2 You’re Next
2 Blue Jasmine
Octobre
1 La Vie D’Adèle – Chapitres 1 Et 2
1 Gravity
3 Snowpiercer
vote de Manu : Snowpiercer
Novembre
1 Inside Llewyn Davis
1 Hunger Games – L’Embrasement
3 Capitaine Phillips
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Décembre
1 Le Loup De Wall Street
2 Le Hobbit : La Désolation De Smaug
3 A Touch Of Sin
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