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Film | affiche | Commentaire |
Baby Driver |
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Le film se veut basé sur la musique, l’action et le rythme n’étant là que pour surligner les titres choisis. Et il faut quand même remarquer que Wright propose une sacrée playliste (une trentaine de titres, pour 1h40 de musique sur la BO). J’adhère moins que les Guardiens, car c’est plus universel et plus insolite (oui, ce n’est pas antinomique ![]() ![]() La scène pré-générique est parfaitement réussie, ce malgré un titre musical que j’ai du mal à aimer. Le rythme est parfait, le personnage principal est top, la poursuite en voiture est incroyable (je ne suis pourtant pas un afficionado de ce genre de scène). Rien à redire. Le pitch est assez simple : un jeune homme surdoué de la conduite est forcé de faire le chauffeur pour des braqueurs de banque. Ce n’est pas un simple prétexte pour nous sortir des musiques à peine connu et des scènes de poursuite aux petits oignons, puisque le film est avant tout basé sur son personnage principal (Baby). D’ailleurs je trouve que la scène de poursuite la plus impressionnante est celle qui est faite à pied ; ça rajoute d’ailleurs une tension assez palpable, le personnage étant en dehors de sa zone de confort. L’évolution du personnage est vraiment très sympa, puisqu’on le voit littéralement évoluer d’une scène à l’autres (alors qu’on part d’assez loin : un chauffeur mutique qui écoute de la musique). Les acteurs, Ansel Elgort en tête, sont tous très bien. Mention spéciale à Kevin Spacey qui n’a même plus besoin de se forcer pour faire un parrain mafieux tout à fait convainquant. Je trouve que le film a un petit coup de mou au milieu, entre les braquages, au moment où l’on lance la rom’com’, mais bon, rien de bien méchant. Y’a de la belle zic, c’est assez bien gaulé, et c’est cool (il y a quelques répliques bien senties, mais pas trop), alors pourquoi hésiter plus longtemps ? |
Star Wars: Episode VIII - The Last Jedi |
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J'ai beaucoup d'amour pour l'épisode 7, malgré son défaut principal (c'est un remake de l'épisode 4), et si j'ai bien aimé Rogue One, à la sortie du visionnage de l'épisode 8, il faut quand même bien reconnaitre qu'il n’est pas à la hauteur des films de la saga. A chaud, l'épisode 8 est un bon cran au dessus du 7 et de la plupart des épisodes de la prélogie (tous excepté le 3 en fait). Bien entendu, le film n'est pas non plus exempt de défauts. La durée, pour commencer. Le bousin dure 2h30. Il n'y a pas de longueurs, mais j'aurais aisément pu me passer le la course poursuite entre le Premier Order et les rebelles - c'est long et sans intérêt. Je vois aussi le message qu'à voulu faire passer le réal avec le passage sur la planète casino - et la scène final qui fait écho à ce passage - mais j'aurais également pu m'en passer. En fait, tout ce qui concerne les rebelles m'a légèrement gonflé et j'aurais préféré que le film reste centré sur Luke - Kylo Ren - Rey. Car ces scènes là sont très réussies. A commencer par la scène avec Snoke. Je trouve d'ailleurs ce personnage raté - il a une sale gueule et les effets spéciaux sont vraiment moches. La scène n'est pas sans rappeler celle de l'épisode 6, mais en bien mieux (si l'on excepte le décors un peu chelou et minimaliste). C'est de très loin ma scène préfére du film - celle où les personnages de Rey et Kylo Ren dévoilent toute leur mesure, et la plus belle scène d'action. Kylo Ren est vraiment mon personnage préféré de la saga, qui tient là son meilleur méchant ever . J'aime aussi beaucoup Luke, et ça m'a vraiment fait chier qu'il meurt à la fin, surtout après les efforts déployés pour le faire survivre à son combat contre Kylo Ren - magnifique combat par ailleurs. On perd un personnage qui aurait encore pu apporter pas mal de choses, dommage. . J'ai trouvé que Leia était moins pire que dans l'épisode 7, plutôt correcte. Excepté cette scène WTF et relativement immonde dans laquelle elle vole dans l'espace . J'ai de l'amour pour les personnages de Fin et Poe Dameron, mais leurs aventures ne m'ont pas intéressées plus que cela. Le film est ce qu'aurait dû être l'épisode 7, à savoir le passage de flambeau à la nouvelle génération, avec des histoires qui ne sont pas les mêmes que celles de leurs ainés. A cet égard, il est dommage que Leia survive à l'épisode et ne passe pas la main à Poe . Niveau effets spéciaux, j'ai eu un peu peur du too much avec les créatures numériques - surtout le pingouin que l'on voit dans le trailer - mais en fait ça passe. On est clairement plus dans l'ère Georges Lucas, et c'est tant mieux. Petite mention spéciale à Hux et à Benicio Del Toro qui sont deux personnages tout à fait sympathiques. Vivement la suite. |
Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 |
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<< - I am Groot - He said : welcome to the freakin' guardians of the galaxy Except he didn't say freakin' >> Mercredi, au lieu de passer la soirée devant un débat politique de haut vol, votre serviteur a pris sur lui et est allé voir la suite du magnifique Guardians of the Galaxy. Pour vous. Le film est à la fois très différente et très similaire au premier opus. Pas de mission ou but clairement identifié, ce qui peut éventuellement perdre le spectateur. Moins d'action. La partie présentation des personnages et création de l'équipe est aussi évidemment absente. Par contre, l'esprit reste le même ; fun, très vintage années 80, très musical (la musique a une nouvelle fois une place prépondérante), très coloré, très kitch, pas mal porntnawak. La scène d'introduction est assez similaire, sur Terre dans le passé. Malgré tout le plaisir qu'on a a revoir Kurt Russel, la scène est beaucoup moins forte et émouvante que celle du premier film (globalement, j'ai trouvé le film moins touchant). Par contre, la scène titre est plutôt mieux réussi, et ce n'était pas une mince à faire vu mon amour immodéré pour la scène titre du premier. On revoit tous les personnages, dans une scène d'action époustouflante avec une super zic. Que demander de plus ?! La grosse réussite du film, c'est encore une fois ses personnages, et une fois n'est pas coutume, c'est Drax qui se taille la part du lion. Il est juste magique. Bébé groot est aussi assez magnifique. Un peu déçu par Rocket Racoon qui peine à tirer son épingle du jeu, et j'ai trouvé Star Lord assez en retrait (ce qui est assez ironique vu qu'il est encore une fois au centre de l'histoire). L'intrigue est plutôt intelligente, ce qui est quand même pas courant sur ce genre de production. Évidement indispensable, d'autant que The Guardians of the Galaxy Will Be Back ! |
Ce qui nous lie |
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Le film nous avait été conseillé début Juillet par une caviste à Saint Aubin. Bon, ce n'est pas spécialement ce qui nous a décidé à nous déplacer, mais ça a joué quand même. J'avais été pas mal déçu par le dernier Klapisch (le casse tête chinois), mais je ne suis pas rancunier (la preuve, j'ai aussi vu le dernier Luc Besson). On sent dès les premières secondes que le rôle principal est fait pour Romain Duris (le background, les dialogues). Est-ce que Pio Marmai fait un bon Romain Duris ? Hé bien, pas si mal, oui. L'acteur s'en sort plutôt bien. Le pitch est simple : un fils revient en Bourgogne alors que son père, viniculteur, et à cause de qui il est parti, est très malade. Il y retrouve son frère et sa soeur au moment des vendanges. On vit une année complète au sein de la vigne, et la terre de Bourgogne et le vin sont réellement au coeur du film. On sent une vrai passion, ça rappel un peu Les Gouttes de Dieu. Un peu. Il s'agit donc d'un drame familial, et la caméra éclair tour à tour chacun des membres de la fratrie, qui sont tous très bien traité. Les deux autres acteurs (Ana Girardot en tête) s'en sortent d’ailleurs très bien, et on a aucun mal à croire à cette famille et à l'aimer (le personnage le plus con étant d'ailleurs celui campé par Pio Marmai). Les dialogues sont au poil, on échappe pas aux leçons de vie type Auberge Espagnol, mais c'est plus léger, et c'est assez bien filmé. Il y a pas mal d'émotion, de l'humour, j'ai vraiment accroché du début à la fin. Pour moi, c'est peut être le meilleur Klapisch à ce jour. A voir ! |
L'Ascension |
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Le pitch est assez simple : un type d’une citée du 93 promet à une fille que pour elle, il grimperait l’Everest. Evidemment, elle ne le croit pas. Mais il le fait, et est suivi par une petite radio locale, puis carrément par le JT de France 2. Le pitch ressemble pas mal à « La Vache », mais le film est beaucoup plus réussi. C’est plutôt bien monté, et on jongle avec aisance entre le 93 et les sommets népalais. Le film est aussi porté par son acteur principal, qui rayonne de bonne humeur et d’optimisme. Il y a pas mal d’humour, mais ce n’est ni forcé, ni lourd. Il y a même un peu d’émotion. Le seul point noir du film, c’est la crédibilité de l’aventure. Certes, c’est basé sur une histoire vraie, mais il y a des différences assez notables entre la vraie personne et le personnage inventé pour le film (ne serait-ce que sur le physique et sur l’entrainement). Mais bon, ça ne gâche pas le visionnage de cette comédie fort sympatique. |
Alien: Covenant |
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J'avais beaucoup aimé l'opus précédent, Prometheus, même s'il s'éloignait pas mal des autres films de la saga (y'avait même pas d'aliens dedans, déjà ![]() ![]() |
Kingsman: The Golden Circle |
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J’avais plutôt aimé le premier mais j’avais quand même été assez choqué par la scène de l’église. Et le film avait été vendu pour ce qu’il n’était pas (une parodie de film d’espionnage). Peut-être que j’apprécie plus car je vois le film en connaissance de cause, mais j’ai trouvé cette suite supérieure au premier. Plus d’humour, déjà ; notamment pas mal de blagues sur l’alcool et le sexe. J’ai particulièrement apprécié cette petite référence à ma vanne préférée du premier film (‘si tu sauves le monde, on pourra le faire par derrière’ ![]() ![]() |
La La Land |
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Au vu de la bande annonce, le film ne me bottait pas plus que ça. Il faut dire aussi que je suis pas fan de comédies musicales, et que je n’aime pas le jazz. Les critiques toutes dithyrambiques et la promo légèrement exagérée (j’ai pu voir des affiches du film avec un énorme titre « le film de l’année’ … fin janvier ? Vraiment ?) ne m’ont pas plus encouragé à aller le voir. Il faut dire aussi que j’ai un côté ![]() ![]() |